Transfert - Lucie Liboreau sera en 2023 chez Arkéa Pro Cycling Team
Par Arthur De SMEDT le 28/10/2022 à 20:04
Arkéa Pro Cycling Team continue de miser sur la jeunesse. Après avoir enregistré l'arrivée de Maurène Trégouët (18 ans) lundi, c'est au tour de Lucie Liboreau de signer avec la formation bretonne pour 2023 ce mardi. La jeune coureuse de 20 ans arrive en provenance de l'équipe canadienne Emotional.fr Tornatech GSC Blagnac pour renforcer le secteur sprint de la structure dirigée par Emmanuel Hubert. "Les épreuves professionnelles féminines se terminent souvent par un sprint. Avoir une ou plusieurs coureures possédant ces qualités est donc important. Lucie est une jeune sprinteuse, adepte de la piste et du cyclo-cross. Elle doit encore faire ses classes, apprendre, mais le potentiel est là", a confié le manager général dans le communiqué de presse.
Vidéo - Emmanuel Hubert accueille une jeune sprinteuse française !
Lire la suite de l'article
"La force de cette formation, c’est son esprit collectif"
Lucie Liboreau s'y est également exprimé. "Je possède des qualités de sprinteuse, mais je suis aussi en capacité de passer des bosses courtes, ce qui permet d’éliminer parfois certaines pures sprinteuses. J’ai débuté en division nationale, et depuis deux ans je courais en UCI. Mon arrivée la saison prochaine au sein de l’équipe Arkéa Pro Cycling Team me permet de franchir un nouveau cap. Je suis heureuse d’intégrer l’effectif, la force de cette formation, c’est son esprit collectif, les filles courent les unes pour les autres, ensemble. Je vais également découvrir un nouveau calendrier de compétitions, avec de belles épreuves que je regardais à la télévision et que nous serons amenées à disputer la saison prochaine. Je n’ai pas encore d’objectifs déterminés, on évoquera ce sujet lors du stage de début de saison en compagnie de Franck Renimel".
Bienvenue Lucie Liboreau ! 👋
— Arkéa Pro Cycling Team (@ArkeaProCyclin1) October 25, 2022
En savoir plus sur notre nouvelle sprinteuse française👇https://t.co/JduzmouQC2 pic.twitter.com/uh6MEVRRTk
Nicolas Vinokourov: "Avec mon père ou non, je me sens bien chez Astana"