Tour du Limbourg - Groenewegen : «L'équipe n'a jamais perdu confiance en moi»
Dylan Groenewegen a triomphé au Tour du Limbourg, son premier succès en quatre mois. À l'issue de 195,6 kilomètres au programme, le coureur du Team Jayco AlUla s'est offert cette course belge d'un jour de classe 1 devant Maurice Ballerstedt (Alpecin-Deceuninck) et Arnaud De Lie (Lotto Dstny). Le Néerlandais avait commencé sa saison par une victoire la Classique de la Communauté de Valence 1969 - Grand Prix de Valence, mais avait ensuite accumulé les places d'honneur sans réussir à s'imposer. Cette victoire au Limbourg, après une longue attente, est l'occasion parfaite de faire le plein de confiance avant le Tour de France cet été.
Vidéo - Groenewegen fait le plein de confiance avant le Tour !
Lire la suite de l'article
#RVL #RVL24 Dylan Groenewegen décroche sa deuxième victoire de la saison ! Le Néerlandais remporte le Tour du Limbourg, Arnaud De Lie doit se contenter de la troisième place. À retrouver sur https://t.co/hItDtvxPXA https://t.co/VKrmpjXXCj
— Cyclism'Actu (@cyclismactu) May 20, 2024
"Nous savons quel est le grand objectif..."
"Cela fait un moment, donc c’est vraiment agréable de franchir à nouveau la ligne avec les mains en l’air, avoue Dylan Groenewegen en zone mixte. Je dois remercier l’équipe de ne jamais avoir perdu confiance en moi. C’était un final très difficile. Avec d'abord une descente puis une remontée en pente raide. L’équipe voulait à chaque fois accélérer, mais je leur disais tout le temps que nous devions encore attendre. Au final, nous avons attendu jusqu’à 1,2 km de l’arrivée. J’ai regardé les images de ces dernières années et je voulais vraiment être le premier à passer le dernier virage. Nous savons à présent quel est le grand objectif (le Tour de France). Ces dernières semaines, j’ai été un peu malade, mais je me sens de mieux en mieux. C’est bon pour la confiance."
🇧🇪 #RVL24
— GreenEDGE Cycling (@GreenEDGEteam) May 20, 2024
What a finish that was 😎 Dylan Groenewegen on 🔥 pic.twitter.com/YhBJQpqJAR
Marc Madiot : "En 2025, nous n’avons pas eu le rayonnement espéré"