Challenge de Majorque - Anthony Turgis : «J'ai progressé au sprint cet hiver»
Ce jeudi, le peloton se lançait à l'assaut de son deuxième jour de course sur l'île de Majorque à l'occasion du Trophée Ses Salines-Colònia de Sant Jordi. Au programme, un parcours de 184,5 km bien moins vallonné que celui de la veille, avec seulement quelques petites difficultés à franchir et un final totalement plat. De nombreux sprinteurs ont fait le déplacement, parmi lesquels Biniam Girmay (Intermarché-Wanty), Fernando Gaviria (Movistar Team) et Max Kanter (XDS Astana Team). Mais à l'issue de cette course, c'est le Néerlandais de la formation EF Education-EasyPost, Marijn van den Berg, qui s'est imposé, devançant le Français de l'équipe TotalEnergies, Anthony Turgis, et le Norvégien Erlend Blikra (Uno-X Mobility). Interrogé après la ligne, Anthony Turgis est revenu sur sa course, plus précisément sur sa belle 2e place devant de très grands sprinteurs.
Vidéo - Anthony Turgis, 2e derrière van den Berg à Majorque ce jeudi
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Après Jan Christen la veille, Marijn van den Berg s'impose sur la 2e manche du #challengemallorca, remportant au sprint le #TrofeuSesSalines devant le Français Anthony Turgis.
— Cyclism'Actu (@cyclismactu) January 30, 2025
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"Il y avait pas mal de bons sprinteurs, donc je suis très content..."
C'est de très bon augure pour le coureur français de 30 ans, qui n'avait plus goûté au podium depuis sa belle victoire sur les routes du Tour de France en juillet dernier. Après sa 2e place, le natif de Bourg-la-Reine déclare : "Oui, deuxième, je savais que l’arrivée se situait en haut d’un petit taquet, donc au démarrage j’ai perdu un petit mètre, mais ce n’était pas grave. J’étais bien positionné, j’arrive à remonter, mais Marijn van den Berg était le plus fort aujourd’hui. J’ai bien progressé au sprint cet hiver, ça se voit là. On va voir ce que ça donne plus tard, en tout cas je suis content de faire cette performance aujourd’hui, ça prouve que le travail paye. Il y avait pas mal de bons sprinteurs, donc je suis très content. Après, c’est une question de positionnement, et ce n’était pas évident," conclut Anthony Turgis.
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