Classic Grand Besançon - Lenny Martinez, 2e : «Je venais pour gagner...»
C'est ce 14 avril 2023, à un peu plus de 19 ans et 9 mois, que Lenny Martinez a décroché son premier podium chez les professionnels ! Le jeune grimpeur de la Groupama-FDJ a en effet pris la deuxième place de la Classic Grand Besançon Doubs, seulement battu au sprint par l'autre homme fort du jour, Victor Lafay (Cofidis). Premier coureur à être passé à l'offensive dans la montée finale de la Malate, le Cannois a fait tout ce qu'il a pu pour faire craquer le Lyonnais, mais ces multiples attaques n'ont pas fait vaciller le vainqueur d'une étape sur le Tour d'Italie 2021. Juste après l'arrivée, à chaud au micro de la Chaîne L'Équipe, Lenny Martinez s'en voulait vraiment de ne pas avoir remporté cette course.
Vidéo - Premier podium chez les pros pour Lenny Martinez !
Lire la suite de l'article
Victor Lafay remporte la Classic Grand Besançon Doubs !
— la chaine L'Équipe (@lachainelequipe) April 14, 2023
Au terme d'un final difficile et très serré, le coureur de Cofidis lève les bras devant Lenny Martinez et Roger Adrià ! #lequipeVELO pic.twitter.com/Q8YmuH0erI
"En soi, c'est bien deuxième, mais je voulais vraiment la victoire pour l'équipe"
"J'ai essayé de me débarrasser de mes adversaires pour arriver tout seul. Cette montée est dure mais elle est aussi assez courte, donc c'est difficile de lâcher les autres. Je suis vraiment déçu car je venais juste pour gagner, donc faire deuxième (il soupire)n c'est un peu nul. En soi, c'est bien deuxième, mais je voulais vraiment la victoire pour l'équipe et je n'étais focalisé que sur la victoire", conclut le coéquipier de Thibaut Pinot, cinquième de cette Classic Grand Besançon Doubs 2023 après avoir réalisé un beau final.
Très belle performance de Lenny Martinez qui termine 2e de la Classic Grand Besançon Doubs ! Premier Top-3 avec la WorldTour 🤯
— Équipe Cycliste Groupama-FDJ (@GroupamaFDJ) April 14, 2023
Belle ascension également de Thibaut Pinot qui prend la 5e place. pic.twitter.com/GVmtkGa8xs
Nicolas Vinokourov: "Avec mon père ou non, je me sens bien chez Astana"