Tour de France - Rolf Aldag : «Attendre la présentation du Tour d'Italie...»
Directeur sportif d'une formation Red Bull - BORA-hansgrohe qui aura, en 2025, une très grosse revanche à prendre sur le Tour de France après être passée à côté de son édition 2024, Rolf Aldag a commenté le parcours du 112e Tour. "Sur le Tour, il faut faire la distinction entre ce qui est difficile et ce qui est dur. La première partie du Tour est difficile car il peut y avoir beaucoup de vent dans le nord de la France et ça peut être très technique", commence par expliquer celui qui dirige notamment Primoz Roglic, contraint à l'abandon sur le Tour 2024 suite à une chute.
Vidéo - Le Tour de France 2025 a été présenté ce mardi !
Lire la suite de l'article
Tour de France - De Lille à Paris... le parcours du 112e Tour de France #TDF2025 #TDF #Prudhomme #Lille #Pogacar #Ventoux https://t.co/FwJMb87O6L #cyclisme #cycling
— Cyclism'Actu (@cyclismactu) October 29, 2024
"La 20e étape a été atténuée en termes de difficulté par rapport aux éditions précédentes"
"Avant le premier jour de repos, et plus encore dans les Pyrénées, on passe de difficile à dur. La montagne arrive relativement tard, mais ça va vraiment devenir très compliqué. Après le contre-la-montre en côte, cette étape avec près de 5 000 mètres de dénivelé positif est assurément l'une des plus dures de ce Tour", poursuit l'Allemand en faisant référence à l'étape de Luchon-Superbagnères.
"Direction ensuite les Alpes et nous parlons alors à nouveau d'étapes vraiment très difficiles. La 18e étape, avec plus de 5000 mètres de dénivelé, est super dure et il y a une autre étape de montagne difficile le lendemain. Ces jours ne sont destinés qu'aux plus forts de la course. En revanche, la 20e étape a été atténuée en termes de difficulté par rapport aux éditions précédentes. Ce n'est pas le Tour le plus dur de tous les temps, mais il est constitué de plusieurs étapes brutalement difficiles et le départ est très, très technique. Nous allons maintenant examiner le parcours en détail, attendre la présentation du Tour d'Italie dans quelques semaines et décider ensuite comment nous positionner", conclut Rolf Aldag.
Mauro Gianetti : "Benoît Cosnefroy... le coureur qu'il nous fallait"