Piste - Matthew Richardson répond aux sanctions : «Ce ne sont que des mots...»

"J'ai toujours été respectueux envers AusCycling"

"J'ai trouvé cela assez intéressant. J'imagine qu'ils voulaient juste porter un dernier coup, un dernier mot. Mais au final, j'étais parti il ​​y a trois mois", a-t-il déclaré. "Je ne sais pas vraiment d'où vient cette confusion, mais je pensais qu'il était assez évident qu'en voulant rouler pour la Grande-Bretagne pour le reste de ma carrière, cela signifiait que je ne voulais pas rouler pour l'Australie pour le reste de ma carrière. C'est presque comme si vous quittiez votre emploi et que trois mois plus tard, on vous disait : "Eh bien, vous êtes viré !", a expliqué l'athlète.

Dans le cadre de l'examen d'AusCycling, l'organisme national a déclaré qu'il envisageait d'imposer une clause de non-concurrence de deux ans, mais a estimé qu'une telle interdiction était "juridiquement inapplicable". Richardson n'en s'est d'ailleurs pas inquiété : "Ce ne sont que des mots sur un bout de papier qui, encore une fois, n'ont aucun poids. Comme ils l'ont également dit lors de cette révision, ils vont devoir revenir en arrière et examiner cette clause, qui admet simplement qu'ils vont devoir la modifier ou s'en débarrasser, ou autre chose, car elle n'a clairement aucun sens." Le pistard a ensuite essayé d'apaiser le conflit. "J'ai toujours été respectueux envers AusCycling et je suis très reconnaissant pour tout ce qu'ils ont fait pour moi au fil des ans", a conclu Richardson.

AusCycling has finalised a review of the circumstances which saw track cyclist Matthew Richardson announce a change of nationality from Australia to Great Britain following the Olympic Games in Paris.

Statement: https://t.co/G3YbCqL7cE pic.twitter.com/4J9Sx5GNVK

— AusCycling (@AusCycling) November 25, 2024