Route - Arnaud De Lie sera absent au Tour des Flandres et à Paris-Roubaix
Après avoir déjà renoncé à Milan-San Remo, Arnaud De Lie va faire l'impasse sur le Tour des Flandres dimanche et Paris-Roubaix une semaine plus tard. Son manager général chez Lotto Dstny, Stéphane Heulot, avait déjà envisagé de faire souffler celui qu'on surnomme le Taureau de Lescheret après un début de saison compliqué. "On va parler du programme d’Arnaud. Continuer à courir pour courir ne l’aide en rien. On va discuter avec lui et voir ce qui est le mieux pour lui. Nous reviendrons sur son programme de course. Je ne sais pas encore de quoi il a envie mais il faut qu’il puisse se vider la tête", avait-il confié au Het Nieuwsblad.
Vidéo - Stéphane Heulot au micro de Cyclism'Actu, fin 2023
Lire la suite de l'article
"Il lui faudra un certain temps pour récupérer et se préparer à la deuxième partie de la saison"
Une décision de manquer les deux prochains Monuments qui a été confirmée quelques heures plus tard par l'équipe belge : "Pour plusieurs raisons, De Lie n'a pas encore pu briller sur les classiques belges, sur lesquelles l'équipe et son esprit étaient concentrés. En janvier, juste après le camp d'entraînement de l'équipe en Espagne, un camp d'entraînement en altitude a eu lieu à Tenerife, où le Belge de 22 ans est tombé malade. Ensuite, il y a eu sa chute au Samyn, qui a entraîné de nombreuses écorchures et l'a également contraint à abandonner Paris-Nice, lors de la 4e étape. Plusieurs revers à cause desquels De Lie n'arrive pas à courir à 100% ces classiques. En collaboration avec De Lie, le département gestion et performance de l'équipe a décidé que le jeune coureur belge ne participerait pas aux prochaines classiques. Il lui faudra un certain temps pour récupérer et se préparer à la deuxième partie de la saison. La date de retour en compétition sera fixée prochainement."
Statement on the program of @Arnaud_De_Lie: read more on our website👇https://t.co/My2Ttlg6lx pic.twitter.com/Z49M49nmkN
— Lotto Dstny (@lotto_dstny) March 25, 2024
Nicolas Vinokourov: "Avec mon père ou non, je me sens bien chez Astana"