Tour Colombia - Egan Bernal et Mark Cavendish sont attendus en Colombie
.jpg)
Le Tour Colombia va faire son grand retour après 4 ans d'absence du 6 au 11 février 2024, et, pour l'occasion, de grands noms viennent de signaler leur présence. Mark Cavendish est l'un d'eux. Le Britannique y entamera sa préparation, et s'en réjouit d'avance. "Je suis très excité", confie le coureur d'Astana Qazaqstan Team dans une vidéo relayée par la fédération colombienne de cyclisme. Sa présence est d'autant plus attendue après l'annonce du prolongement de sa carrière d'une année supplémentaire mardi. "C'est l'une des plus grandes courses d'Amérique latine, dans un pays qui a produit d'incroyables coureurs cyclistes", renchérit-il. Mark Cavendish doit sûrement penser à Egan Bernal, qui a lui-aussi inscrit la course colombienne à son agenda. Le peloton traversera sa ville natale, Zipaquirá.
Vidéo - La dernière édition... c'était en 2020 !
Lire la suite de l'article
Route - Egan Bernal a fait une gaffe... il a dévoilé le maillot INEOS #Bernal #INEOSGrenadiers #BuiltOnPurpose #Kit https://t.co/1iGJrMpb5J #cyclisme #cycling
— Cyclism'Actu (@cyclismactu) December 5, 2023
Richard Carapaz participera aussi à l'épreuve colombienne
Problème, le vainqueur du Tour de France 2019 ne pourra pas courir dans son pays d'origine sous les couleurs d'INEOS Grenadiers. Selon les informations de la Gazzetta dello Sport, la formation britannique ne présentera pas d'équipe sur l'épreuve sud-américaine. En conséquence, le Colombien arborera sûrement la tunique de sa sélection nationale et retrouvera son ancien coéquipier Richard Carapaz (EF Education-EasyPost) au départ. Egan Bernal pourrait être l'un des favoris pour le classement général, et succéder, pourquoi pas, à son compatriote Sergio Huiguita, dernier vainqueur de l'épreuve en 2020.
Mark Cavendish, primera figura internacional confirmada para el #TourColombia2024 https://t.co/eO5XtpXyti pic.twitter.com/SMfKJklNa9
— Federación Colombiana de Ciclismo (@fedeciclismocol) December 14, 2023
Nicolas Vinokourov: "Avec mon père ou non, je me sens bien chez Astana"