Tim Merlier : «Le sprint... parfois ça va, parfois non»

Tim Merlier n'a pas réussi à récompenser ses coéquipiers samedi lors de la 2e étape du Tour d'Espagne. Au travail quasiment toute la journée pour permettre au Belge de jouer la gagne au sprint, les coureurs de l'équipe Alpecin-Deceuninck ont vu le champion de Belgique finir à la troisième place, battu à Utrecht par l'Irlandais Sam Bennett (BORA-hansgrohe) et la Danois Mads Pedersen (Trek-Segafredo). Forcément, après l'arrivée, c'était la déception qui primait chez le futur coureur de la Soudal-Quick Step.

"C'est le sprint... parfois ça va bien, parfois ça ne va pas bien"

"J'étais là pour gagner, mais j'ai terminé troisième... C'est le sprint : parfois ça va bien, parfois ça ne va pas bien", commence-t-il par déclarer au micro de la RTBF. "À 500 mètres de la ligne, je me suis retrouvé dans le vent et trop loin. J'ai manqué d'un peu de force pour revenir, Sam Bennett a alors lancé son sprint et il a pu gagner. L'équipe ? Gianni (Vermeersch) et Xandro (Meurisse) ont fait un gros travail, mais on a un peu perdu Tami (Lionel Taminiaux). Il a tenté de revenir mais il n'a pas pu passer. C'est difficile. Demain (dimanche) ? On va essayer, bien sûr", conclut Tim Merlier.