Julian Alaphilippe : «J'espère encore faire vibrer...»
Tour de FrancePlutôt loin de la bataille des deux grands leaders de ce Tour de France, Jonas Vingegaard (Jumbo-Visma) et Tadej Pogacar (UAE Team Emirates), Julian Alaphilippe a bouclé le contre-la-montre de cette 16e étape en 26e position, à près de 5 minutes du maillot jaune. Le Français de l'équipe Soudal Quick-Step a expliqué sa volonté de ne pas "dépasser la zone rouge" en vue de la dernière semaine de la Grande Boucle qui attend les coureurs. "J'ai profité de ce chrono pour faire un bon effort, sans trop dépasser non plus la zone rouge. J'ai senti que ça n'aurait servi à rien de toute façon, mais j'ai envie de donner le maximum jusqu'à Paris et il y a encore de belles opportunités", a-t-il déclaré.
Julian Alaphilippe a confié ses impressions après le chrono
Julian Alaphilippe a apprécié le parcours et le public du CLM
Malgré des températures très chaudes, et un parcours exigeant, Julian Alaphilippe a exprimé tout le bien qu'il a pensé de l'étape du jour. "Grosse chaleur, mais un parcours magnifique. C'était vraiment un beau tracé. Je pense que c'est vraiment le terrain idéal qui permet de départager Pogacar et Vingegaard. Pour ma part, j'ai pris beaucoup de plaisir, et les encouragements, ça fait plaisir. Il y en avait pour tout le monde, montée, descente. Un peu de technique et des grands bouts droits pour envoyer. C'est vraiment avec les jambes, donc vraiment un beau parcours", a-t-il assuré.
L'ancien double champion du Monde sur route a tenu à se donner sur ce contre-la-montre d'une vingtaine de kilomètres, mais aussi à en garder sous la pédale pour les quelques étapes restantes. J'espère encore faire vibrer, je vais essayer en tous cas ! La journée de repos m'a vraiment fait du bien et j'ai profité de ce chrono pour faire un bon effort, sans trop dépasser non plus la zone rouge. J'ai senti que ça n'aurait servi à rien de toute façon, mais j'ai envie de donner le maximum jusqu'à Paris et il y a encore de belles opportunités", a expliqué Julian Alaphilippe.
Publié le par Julie CAPY