Guillaume Martin: «Heureusement il y avait vent de face»

Journée plutôt tranquille pour les grimpeurs dont fait partie Guillaume Martin sur la deuxième étape du Tour de France entre Roskilde et Nyborg. Le vent n'a pas été favorable aux bordures, et malgré une course tendue dont le Français a regretté la dangerosité, tout le monde en sort sans encombres. Une chute, qui a retardé le leader de Cofidis, est intervenue à deux kilomètres de l'arrivée, c'est-à-dire suffisamment tard pour que tout le monde soit accrédité du temps du vainqueur, Fabio Jakobsen (Quick-Step Alpha Vinyl). Wout Van Aert (Jumbo-Visma) prend le maillot jaune, et Guillaume Martin le micro.

"Heureusement qu'on avait vent de face"

"C'était une étape nerveuse comme attendu, depuis le début jusqu'à la fin", a déclaré le Normand. "C'était un peu bizarre, il y avait des routes assez étroites pendant un bon moment. Ensuite on est arrivé sur ce fameux pont où c'était plus large : c'était dangereux dans les deux cas, sur les routes étroites à cause du public sur les bas côtés et sur le pont parce que tout le monde voulait remonter, il y avait la place donc il y a eu de petits accrochages. Heureusement qu'il y avait vent de face, sinon je crois que ça aurait été encore plus dangereux. Finalement on passe plutôt une bonne journée pour l'équipe, sans chute. C'est l'essentiel sur des journées comme ça, et il y a des étapes qui nous conviendront plus à l'avenir".