Aurélien Paret-Peintre : «Je n'ai pas beaucoup de regrets»

Aurélien Paret-Peintre monte progressivement en puissance sur le calendrier français du début de saison. 16e du GP La Marseillaise, 6e à Bessèges, et désormais 5e de la première édition de la Classic Var, qui arrivait au sommet du Mont Faron ce vendredi. L'aîné de la fratrie Paret-Peintre s'est montré solide pour faire partie du groupe de six qui s'est joué la victoire dans les derniers mètres de l'ascension qui surplombe Toulon, mais il lui en a manqué un peu pour le sprint final, remporté après une arrivée rocambolesque par Lenny Martinez (Groupama-FDJ). Le grimpeur de l'équipe Decathlon AG2R La Mondiale est revenu pour sa formation sur ce bon résultat obtenu.

"Je n’ai pas beaucoup de regrets car ça s’est fait à la pédale dans le final"

"Je n’ai pas beaucoup de regrets parce que ça s’est fait à la pédale dans le final, je n’avais pas les jambes pour faire mieux. La dernière montée, celle du mont Faron, était stratégique avec beaucoup d’à-coups, donc c’était très intense. J’ai réalisé un bon final malgré tout pour terminer dans les cinq premiers. C’est toujours important de faire une première ascension réussie en début de saison. Et l’équipe a effectué un super travail de placement, nous avons pris la course en main comme c’était prévu", a conclu un Aurélien Paret-Peintre qui enchaînera dès ce weekend avec le Tour des Alpes-Maritimes.