Michael Storer va mieux : «C'est sympa d'être à l'avant»

Michael Storer (Groupama-FDJ) a été l’un des hommes en vue sur cette 2e étape du Tour des Alpes, qui a vu s’imposer Pello Bilbao (Bahrain Victorious). Le grimpeur australien, victorieux de deux étapes lors du dernier Tour d’Espagne, est parti très tôt à l’avant ce mardi en compagnie de Miguel Angel Lopez (Astana Qazaqstan Team), Pavel Sivakov (INEOS Grenadiers), Hermann Pernsteiner (Bahrain Victorious), Cian Uijtdebroeks (BORA-hansgrohe), Thymen Arensman (Team DSM), Felix Gall (AG2R Citroën) et Jonathan Caicedo (EF Education-Easy Post).

"Ça faisait longtemps que je ne m’étais pas battu pour la victoire"

Dans la deuxième ascension, le groupe s’est dispersé et on l’a alors retrouvé en tête avec Pavel Sivakov et Thymen Arensman, avant que ce dernier ne lâche dans la dernière difficulté du jour. Les deux rescapés ont finalement été repris à moins de 10 kilomètres de l’arrivée sous l’impulsion de la Bahrain Victorious, et Michael Storer a fini au sein du groupe des favoris. Celui qui est désormais douzième du classement général est revenu sur cette étape au micro de La Chaîne L'Équipe.

L'un des nouveaux coureurs de l'écurie Groupama-FDJ s'est montré heureux de sa journée "C’est sympa d’être à l’avant, ça faisait longtemps que je ne m’étais pas battu pour la victoire. J’ai été un peu malade après le Tour de Catalogne, mais je suis content d’être de retour et d’être aussitôt dans la course pour la victoire. Le plan était d’aller dans l’échappée, même si sur un jour comme celui-là, c’est difficile de vraiment faire des plans. Ça aurait pu être un petit groupe qui allait se disputer la victoire, alors c’est toujours bien d’avoir quelqu’un à l’avant. On a essayé d’avoir le plus grand écart possible mais c’était compliqué, et à la fin, on n’a pas vraiment pu faire la différence", a terminé celui qui sera l'un des leader de la formation française sur le prochain Tour de France.