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Le parcours 2023 du Tour de Romandie a été dévoilé

Tour de Romandie
Mis à jour le par Clément LABAT-GEST
Photo : @TourDeRomandie

Le parcours du 76e Tour de Romandie (25-30 avril 2023) a été dévoilé ce jeudi. Le mardi 25 avril, c'est à Port-Valais que les coureurs se mesureront sur un prologue de 6,5 km. Le peloton partira ensuite de Crissier pour rejoindre la Vallée de Joux avec trois ascensions, dont deux de deuxième catégorie. Jeudi, les coureurs partiront de France et plus précisément de Morteau. Après 70 kilomètres sur les routes françaises, les équipes se battront sur les contreforts jurassiens autour de La Chaux-de-Fonds avec notamment un passage par la Vue des Alpes. Le contre-la-montre du vendredi, sur 18km à Châtel-Saint-Denis, qui devrait permettre aux favoris du général de créer des écarts. Le lendemain, la grande étape de montagne entre Sion et Thyon 2000 sur 160 km attendra le peloton, avec trois ascensions de première catégorie. La course se terminera le dimanche avec une étape entre Vufflens-la-Ville et Genève avec une arrivée sur le quai du Mont-Blanc.

Aleksandr Vlasov, lauréat du Tour de Romandie 2022

 

Richard Chassot : "Ce sera un bon test avant le Giro..."

"Le prologue sera assez long, un des plus longs qu'on a organisés. Il aura un impact sur le classement général. Il sera assez plat, mais technique. Dans la foulée, ce sera une belle étape vers la Vallée de Joux, assez costaude. Ça devrait déjà décanter les choses. Jeudi, on partira de France. On va rarement à l'étranger et on est content d'y aller, pour lier les deux pays. C'est aussi un comité qui est candidat pour une future étape du Tour de France... Le directeur de la Grande Boucle Christian Prudhomme devrait d’ailleurs être là ! Vendredi, ce sera assez extraordinaire. On a créé un contre-la-montre avec Pascal Richard, qui vit à Châtel-St-Denis. Il y aura la montée vers les Paccots, on n'en fait pas mystère. Ce sera un bon test avant le Giro. Ce chrono devrait inviter les grimpeurs à attaquer le lendemain vers Thyon. Il y aura trois grandes ascensions ce jour-là. Dimanche, ce ne sera pas facile non plus, on ne reste jamais au bord du Léman. Bien souvent, à Genève, c'est un sprint royal. Ultra rapide: à plus de 70 km/h", explique le directeur de course Richard Chassot lors de la conférence de presse, ce jeudi.

Publié le par Clément LABAT-GEST

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