Wright : «Si on doit passer par des perquisitions...»

Présent pour la deuxième année de suite sur les routes du Tour de France, Fred Wright fait partie de l'équipe qui a le plus fait couler d'encre cette semaine : la Bahrain Victorious. Visée par plusieurs perquisitions avant le Grand Départ du Tour, la WorldTeam bahreïnie est dans l'oeil du cyclone, ce qui perturbe bien évidemment le jeune coureur britannique. "C'est une situation délicate. En tant que coureur de 23 ans, je ne pense pas que j'aurais dû subir deux descentes de police dans ma carrière, mais c'est la triste vérité", déclare-t-il dans des propos rapportés par CyclingTips.

"C'était un peu comme un mauvais rêve"

"Mais si on doit en passer par là pour confirmer que tout le monde est propre, alors les policiers devaient faire ça", poursuit-il, avant de détailler ce qu'il s'est passé jeudi matin dans l'hôtel de la Bahrain Victorious. "La police danoise a vraiment été aimable, les policiers ont juste fait ce qu'ils avaient à faire. Cela n'a pas pris très longtemps, ils ont fouillé pendant 30 à 45 minutes. Ensuite, je me suis rendormi, c'était un peu comme un mauvais rêve", conclut Fred Wright.