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Richard Carapaz : «Je me sens encore mieux qu'en 2019»

Tour d'Italie
Mis à jour le par Nicolas GAUTHIER
Photo : @INEOSGrenadiers

C'est avec le maillot rose sur le dos que Richard Carapaz va entamer mardi la dernière semaine du Tour d'Italie. N'ayant jamais été en aussi bonne position de remporter un deuxième Grand Tour, trois ans après sa victoire sur le Giro 2019, l'Équatorien est cependant un leader fragile puisqu'il ne possède que 7 secondes d'avance sur un Jai Hindley (BORA-hansgrohe) en très grande condition, tandis que Joao Almeida (UAE Team Emirates) et Mikel Landa (Bahrain Victorious) représentent aussi des menaces pour le leader des INEOS Grenadiers. Pas de quoi cependant altérer la confiance de Richard Carapaz, qui s'est exprimé ce lundi en conférence de presse.

Carapaz va-t-il garder le maillot rose jusqu'à Vérone ?

 

Qui sera en rose dimanche prochain à Vérone ?

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"Avec Hindley, Almeida et Landa, je pense que nous avons là les prétendants à la victoire finale"

"La dernière semaine nous est favorable, je me suis vraiment préparé pour être fort pour toute cette montagne", explique-t-il dans des propos retranscris par VeloNews. "Nous avons le maillot rose et cela nous donne une motivation supplémentaire pour le défendre. Cette semaine qui vient sera sûrement difficile, mais nous sommes prêts à tout laisser sur la route." Le grimpeur sud-américain de 28 ans est ensuite revenu sur la concurrence qu'il aura à affronter dans les cols italiens. "Nous avons une bonne idée de qui sera là pour se battre pour le maillot rose. Avec Hindley, Almeida et Landa, je pense que nous avons là les prétendants à la victoire finale."

 

"Ces quatre grandes journées dans la montagne décideront de qui remportera le Giro"

Confiant dans ses capacités - "je me sens encore mieux qu'en 2019", dit-il - et dans celles de sa formation - "avec Richie (Porte), Pavel (Sivakov), Ben (Tulett) et des coureurs qui montent en puissance comme Castroviejo, l'équipe est forte" - Richard Carapaz se déclare fin prêt pour la bataille finale. "Je pense que ces quatre grandes journées dans la montagne décideront de qui remportera le Giro, plus que le contre-la-montre. Nous n'aurons pas une journée tranquille de la semaine. La clé sera d'être concentré, de prendre au jour le jour et d'essayer de minimiser les pertes", conclut celui qui rêve de succéder à son coéquipier Egan Bernal.

Publié le par Nicolas GAUTHIER

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