Grischa Niermann : «Garder à l’esprit le contre-la-montre de 40km»

Ce lundi 1er décembre a eu lieu, à l’Auditorium Parco della Musica Ennio Morricone de Rome, la présentation du 109e Giro d’Italia, qui partira de Nessebar en Bulgarie pour arriver, 3 459 kilomètres plus tard, à Rome, la Ville éternelle. Vainqueur l’an dernier avec le Britannique Simon Yates, au terme de l’avant-dernière étape qui restera dans l’histoire de l’épreuve, tous les regards sont portés sur la formation Visma | Lease a Bike. En effet, l’équipe néerlandaise devrait emmener le Danois Jonas Vingegaard pour sa quête d’un premier maillot rose, à l’occasion de sa première participation. Grischa Niermann, l’un des directeurs sportifs emblématiques de la formation Visma, a réagi au parcours de cette 109e édition.

"La première chose qui vient à l’esprit, c’est le contre-la-montre..."

"C’est un beau parcours", débute le directeur sportif de 50 ans. "La première chose qui vient à l’esprit, c’est le contre-la-montre de 40 kilomètres entièrement plat, mais il y a aussi beaucoup d’arrivées difficiles en montée. Maintenant que nous connaissons le parcours, nous allons décider de la stratégie à adopter en équipe et des coureurs qui participeront au Giro", explique l’Allemand.

"Le parcours semble difficile, même s’il faut attendre un certain temps avant d’arriver à la première arrivée en côte (étape 7 au sommet du Blockhaus, ndlr). Comme c’est souvent le cas dans le Giro, la fin du parcours est très chargée, avec des étapes très difficiles dans les Dolomites et les Alpes vers la fin. Ce devrait être un bon parcours pour un grimpeur, mais nous devons également garder à l’esprit le long contre-la-montre. Dans l’ensemble, cela semble prometteur", conclut Grischa Niermann, à la suite de la présentation du parcours du 109e Giro d’Italia.